Hypothèse P-barre
Les 3 articles qui fondent l'hypothèse sur l'interface des espaces-temps physique et linguistique
RECHERCHE
Arthur Letertre
8/30/2024
Résumé
Il existe une continuité entre l’état physique et l’état abstrait de l’information. Les sèmes sont les vecteurs de cette continuité et forment le champ sémiotique. Ils possèdent une énergie physique qui est répliquée dans leur passage à l’état abstrait. Leur quantité d’énergie a pour conséquence la distinction entre les mots grammaticaux et les mots lexicaux, et leur inscription différenciée dans l’espace-temps linguistique.
Version en ligne : mai 2024
Résumé
Les sèmes sont les particules de sens du champ sémiotique. Ils sont dotés d’une impulsion : leur mouvement a pour conséquence des interactions qui peuvent générer une signification dans le système d’interprétation d’un observateur. Plus les sèmes s’agglomèrent, plus ils cumulent d’énergie et plus leur mouvement diffuse de chaleur. Cet indice thermique est corrélé à la valeur sémantique d’une configuration de sèmes.
Version en ligne : juillet 2024
Résumé
L’espace-temps linguistique est déformé par l’énergie cumulée dans les configurations de sèmes qui font les mots et les phrases. Les cônes de lumière permettent de représenter la trajectoire des mots dans cette géométrie adaptée aux langues. Ils mettent en évidence l’ancrage temporel du langage verbal et montrent le fonctionnement de différents procédés liés au langage, comme l’oubli, l’apprentissage, l’expression, la symbolisation.
Version en ligne : mai 2024